La position assise ne
permet pas de maintenir une bonne assiette et il y a un risque de dessalage important
dans cette position au-delà de la classe I (2).
(Pour les novices le canoë risque de se retourner).
Lorsque les genoux sont
bien écartés dans le fond du canoë et les calages bien réglés et dimensionnés,
la position à genoux permet de faire corps avec son embarcation et d’améliorer
l’assiette du canoë
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L’appui
En arrivant en bas
d’une chute d’eau ou d’un déversoir, on peut améliorer la stabilité en
positionnant temporairement les pagaies comme indiqué
sur la figure ci-contre. Les 2 pales doivent
être à plat sur l’eau et la main tenant le manche à l’extérieur de la coque. |
Les
appuis peuvent être préventifs ou actifs
Les appuis faciles à
effectuer et utiles en rivière sportive
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Etre
sur la défensive
Il ne faut toutefois pas garder cette position statique trop longtemps
car on ne propulse pas l’embarcation en restant dans cette position. De plus, son efficacité diminue lorsque le canoë n’a plus de vitesse par rapport au courant.. |
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Si d’aventure le canoë a tendance à se retourner à la
suite d'une faute de gîte, les deux équipiers doivent collaborer pour
redresser celui-ci ensemble.
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L ‘appui
simple en suspension
Cette
manœuvre est assez souvent utilisée lorsque l’on s’engage dans une veine
d’eau en se présentant face au courant. Il s’ensuit un départ dans le courant
avec le canoë qui gîte correctement vers l’aval pour peu que l’équipier
arrière ait une position d’attente et ne fasse rien hormis surveiller
attentivement l’équilibre du canoë avec les genoux. |
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L‘appui double en
suspension
Les
deux équipiers participent à l’équilibre mais l’appui débordé en suspension est difficile à
réaliser et réservé à une certaine élite. |